Nos quartiers ont un peu changé... Ici la rue Philippe Grass (quartier des Quinze) pendant la Grande Guerre.
Rue de Bruxelles : la municipalité a décidé d'y réserver cet emplacement libre à une construction en autopromotion, un concept innovant et intéressant. Mais des questions se posent sur le choix du secteur déjà très dense, et sur la façade trop moderniste du projet qui ne s'intègre pas à l'existant.
L'institut de recherche sur les Macromolécules, rue Boussingault : en 2008 l'ADIQ a dû agir en justice contre un projet d'urbanisation du promoteur Kaufman et Broad, qui ne respectait pas les règles du POS.
Depuis le projet est en dormance.
La délégation de l'ADIQ sortant de l'audience du Tribunal Administratif.
Cette jolie maison à colombages du 15 rue de Dunkerque était condamnée à la démolition par le Port Autonome, son propriétaire.
L'ADIQ, en partenariat avec la Société des Amis du Vieux Strasbourg, a déposé un recours gracieux auprès du Maire Roland Ries.
Victoire ! La maison sera démontée et remontée sur le site du Heyritz. Nous avions certes demandé un remontage dans notre quartier, mais l'essentiel est que la maison soit sauvée.
Sur la toiture, des rames entrecroisées qui rappellent probablement l'usage premier de la maison ; selon nos recherches elle aurait été la maison d'un passeur.
2009 : le PLU (plan local d'urbanisme) est en cours d'élaboration. L'ADIQ a écrit au Maire que dans ce processus il était indispensable de faire évoluer également le réglement pour les nouvelles installations industrielles dans la zone industrielle du port du Rhin : les Installations Classées ne doivent plus être acceptées car trop polluantes. Notre demande se heurte pour le moment à l'immobilisme des industriels du port. C'est pourtant la voix de la raison et l'intérêt de tous, à commencer par les industriels eux-mêmes.
La bande verte le long du bassin des Remparts : un lieu de détente avec des atouts certains, qui mérite de se réveiller.
L'ADIQ a fait des propositions à la Ville, simples de réalisation et peu coûteuses.
L'ancien octroi du parc de l'Orangerie, en phase de démontage dans les années 1960, pour les besoins de l'agrandissement du pont de la Porte du Canal. Un petit bâtiment de facture architecturale remarquable.
Les pierres sont aujourd'hui stockées sur un terrain municipal.
Les habitants et l'ADIQ demandent sa restitution au parc depuis cette époque !
Ici un autre octroi, celui qui se trouve au bord de l'avenue de l'Europe, face au palais de l'Europe : le frère jumeau.
Un site approprié pour le remontage de ce bel octroi : en bordure du parc de l'Orangerie, au bout de l'allée des Erables, sur le promontoire arboré donnant sur la rue François-Xavier Richter.
L'Orangerie : un projet de restauration du parc, classé au titre des Monuments Historiques, est à l'étude en 2010. Il conviendra de respecter l'histoire du lieu. Ici l'allée des Erables, au programme des travaux.