Berges du bassin des Remparts : A mieux fermer

BERGES DU BASSIN DES REMPARTS : À MIEUX FERMER

 

L’ADIQ est intervenue en juillet auprès de la mairie de quartier pour que les accès aux berges du bassin des Remparts soient mieux sécurisés.

 

On se souviendra que les gens du voyage s'y étaient installés une première fois en 2003, puis à nouveau en 2004, occupant toutes les berges des rues Piquart et Conrad, et occasionnant nombre de désagréments et de dégâts.

 

Depuis la Ville avait disposé des troncs d’arbres couchés tout le long des berges pour empêcher l’accès des caravanes.

 

L’ADIQ, qui reste attentive à l'entretien de ces obstacles, a signalé quelques troncs d’arbres pourris à remplacer, mais également deux accès possibles au nord et au sud, ainsi que la barrière en place face à l’EPIDE, qui devrait en principe être refermée systématiquement par les habitants des bateaux logements, mais dont il est constaté qu’elle demeure souvent ouverte.

Novembre 2013

 

 

BERGES DU BASSIN DES REMPARTS : AMÉNAGEMENT EN COURS

Cet aménagement, lancé par l’Adjoint O. Bitz sur sollicitation de l’ADIQ et du Conseil de Quartier, a pour ambition de développer le caractère naturel de la berge dans une logique de corridor vert. Des passages transversaux entre le quartier et le chemin de halage ont été créés. Un chemin central va prendre sa place au milieu d’une prairie fleurie, dans l’esprit de ce qui avait été fait il y a bien longtemps à la demande de la Société de Sauvegarde, ancêtre de l’ADIQ. La partie nord des berges se fera après intervention sur les réseaux.

Mai 2012

 

 

BERGES DU BASSIN DES REMPARTS : UN LIEU DE DÉTENTE À RÉVEILLER

Les berges du bassin des Remparts, le long des rues Conrad et Piquart, ne sont plus ou peu utilisées comme lieu de promenade et de détente.

Pourtant l'environnement s'y prête particulièrement, avec la présence de l’eau, des péniches, des belles maisons de la rue Conrad, du bunker et du bateau-musée Naviscope.

L’idée de notre association serait de leur restituer ce côté promenade et détente en s'inspirant de l'esprit de l'époque. En effet, dans les années 1930, l'ADIQ, ou plus exactement la Société de sauvegarde des Intérêts du Quartier des Quinze telle qu'elle se dénommait à l'époque, avait obtenu de la Municipalité un aménagement de ces berges. 

Cet aménagement, détruit au moment de la deuxième guerre, consistait en un cheminement piétonnier en partie centrale de l'espace vert (lequel était en pelouse comme aujourd'hui). Le chemin était en terre battue et formait en certains endroits des îlots engazonnés bordés de bancs et de peupliers dont plusieurs sont encore en place. Les platanes le long de la rue datent aussi de cette époque. La haie du chemin de halage était pour sa part taillée plus bas.

C’est dans cette approche que nous avons fait récemment les suggestions suivantes à notre Adjoint de quartier, O. Bitz.

Créer un cheminement piétonnier central : il ne serait pas utile de goudronner l'actuelle bande piétonnière, tel que les Services municipaux l’ont proposé ; en effet si celle-ci n'est pas utilisée c'est en raison de sa proximité immédiate avec les véhicules et, à certains endroits, avec la chaussée elle-même. La goudronner ne changerait rien à sa non utilisation.

Il conviendrait simplement créer un chemin en terre battue en partie centrale, rectiligne ou un peu sinueux, légèrement surélevé pour un bon écoulement, et l'agrémenter d'arbustes et de quelques bancs.

Haie du chemin de halage : il serait utile de tailler régulièrement la haie du chemin de halage afin d'ouvrir la perspective sur l'eau et sur les péniches et également pour sécuriser le cheminement sur le chemin de halage.

Troncs d’arbres : les troncs d'arbres disposés pour prévenir les incursions des gens du voyage ne sont plus efficaces en quelques endroits : plusieurs sont à remplacer.

Bateaux résidences : ces embarcations, dont la situation réglementaire n'est pas claire du fait notamment du partage des compétences entre la Ville, le Port et VNF, mériteraient probablement de mieux intégrer le quartier ; ils en sont un des atouts.

 

Bateau-musée Naviscope : l’association du Naviscope, dont l’objet est de garder la mémoire de ce qui concerne le Rhin et la navigation fluviale à Strasbourg, et qui gère bénévolement le bateau-musée, s’essouffle et joint difficilement les deux bouts, à tel point qu’elle envisage de fermer le musée.

Une réflexion nécessiterait d’être engagée avec la Ville et le Port Autonome afin de réfléchir comment mieux faire fonctionner ce petit musée qui fait partie des « meubles » du quartier.

Novembre 2009