ODEURS AU PONT D’ANVERS suite Depuis de nombreuses années des traitements des odeurs étaient mis en œuvre avec des résultats irréguliers et dans l’ensemble peu efficaces. Non que les agents du service de l’assainissement ne s’en soucient pas : ils s’en préoccupent au contraire consciencieusement, l’ADIQ a pu le constater au fil des ans. Mais le problème est complexe. Sur notre incitation et avec l’appui de l’Adjoint de quartier, des essais ont été faits en revenant aux « remèdes de grand-mères », consistant à installer des filtres à charbon actif. Mais des filtres de conception maison disposés sous les bouches d’égout, ce qui ne s’était jamais fait, ainsi que divers autres dispositifs sécurisés. Ces derniers temps la situation s’est réellement très améliorée. A confirmer encore en période estivale et sur la durée. Mai 2012 Odeurs au pont d'Anvers C’est un vieux sujet de discussion avec la Ville que les dégagements de mauvaises odeurs sur le quai des Belges, du pont d’Anvers vers les rues Picquart et Conrad. On rappellera que ces odeurs sont générées par le réseau d’assainissement, lequel véhicule des effluents provenant de la zone industrielle sud (fabricants de levure). Lors du passage du Tour de France en 2006 les bouches d’égout avaient été provisoirement obturées mais celles-ci ne peuvent pas l’être définitivement en raison de risques de dégradation du réseau par les gaz ainsi qu’en cas de gros orages. C’est pourquoi un traitement sensé neutraliser les odeurs est mis en œuvre depuis. Mais ce traitement s’est avéré peu efficace sur la durée alors qu’il représente un coût pour la collectivité. l’ADIQ a proposé au Service de l’Assainissement de la CUS de réfléchir à remplacer ledit traitement par des filtres fixés sous les plaques d’égout. Ce qui a été fait à titre expérimental depuis quelques mois par le Service après que l’Adjoint M. Bitz ait appuyé notre proposition. Il restera encore à apporter plusieurs améliorations à ce nouveau dispositif après vérification de son fonctionnement sur la durée. JLD, mai 2011
NUISANCES OLFACTIVES AU PONT D'ANVERS (Novembre 2010)
Cela fait de longues années maintenant que la Ville met en oeuvre un traitement neutralisant pour réduire les mauvaises odeurs au niveau du pont d'Anvers.
Ce numéro de téléphone, basé en CUS, a été mis en place à l’initiative du Secrétariat permanent pour la prévention des pollutions industrielles (SPPPI, prononcer S3PI), auquel l’ADIQ participe activement. Il vous permet de signaler tout épisode de nuisance olfactive que vous supposez être d’origine industrielle. Vos signalements seront transmis aux industriels, français ou allemands, susceptibles d’en être à l’origine car identifiés notamment par la direction du vent au moment de l’épisode. En retour les industriels décriront au service le pourquoi du phénomène lorsqu’ils en sont à l’origine.
ODEURS AU PONT D'ANVERS (novembre 2006)
Cela fait des années que l'automobiliste passant sous le pont d'Anvers, dans le secteur de la Légion étrangère, voit son habitacle se remplir de délicates effluves.
La responsable de ces odeurs peu ragoûtantes est une canalisation du réseau d'assainissement de la ville.
La fautive, après avoir collecté les eaux de rejet des industries de la zone industrielle du port du Rhin depuis le secteur du Rohrschollen, les remonte sur le pont d'Anvers au moyen d'une station de pompage située rue du Bassin de l'Industrie, puis les redescend au niveau du pilier du pont le long donnant sur le quai des Belges, avant de les diriger le long des rues Picquart et Conrad vers la station d'épuration de la route EDF. En chutant du haut du pont (dans ladite canalisation s'entend), ces eaux industrielles subissent un brassage qui s'accompagne de dégagements olfactifs au niveau des regards des bouches d'égout situées en contrebas. Pas de risques pour la santé mais une image peu valorisante et une gêne pour les passants comme pour les croisiéristes de la compagnie locale dont les bateaux accostent à proximité : il serait dommage qu'ils ne puissent plus sentir notre quartier…
La Ville met en oeuvre un traitement de neutralisation des odeurs. Mais les résultats, sur la durée, ne sont pas très satisfaisants. L'ADIQ participe régulièrement à des tests olfactométriques organisés par le service de l'assainissement de la Ville dans le but de suivre les effets du traitement et de les améliorer.
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